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Maladies cardiovasculaires

Acides gras oméga et la prévention des MCV

Comment les concentrations élevées et faibles d’acides gras à longues chaînes (oméga-3) se comparent-elles pour la prévention primaire et secondaire des maladies cardiovasculaires? 10.1002/14651858.CD003177.pub5 Des preuves très fiables indiquent que les acides gras à longues chaînesoméga‐3 (LCn3) n’auraient pas d’effets importants, positifs ou négatifs, sur le risque de mortalité ou d’événements cardiovasculaires. En prévention primaire et secondaire, des donnéesmoyennement fiables avancent que les LCn3 auraient peu ou pas d’effet sur le risquede mortalité liée aux maladies cardiovasculaires,d’AVC oud’arythmie.Il existe cependant des données de faible qualité indiquantque les LCn3 (oméga-3) réduiraient légèrement les risques de mortalité et d’événements liés aux maladies coronariennes.

Réduction des gras saturés et MCV.

Quels sont les effets d’une réduction de l’apport en graisses saturées chez les individus atteints ou non d’une maladie cardiovasculaire (MCV)? 10.1002/14651858.CD011737.pub3/full Des avantages pour la santé ont découlé du remplacement des graisses saturées par des gras polyinsaturés et des féculentsdans l’alimentation. Plus la diminution desgraisses saturées est importante et plus le taux de cholestérol sérique est réduit,meilleure est la protection contre les événements cardiovasculaires. Les personnes en bonne santé semblent en bénéficier autant que les individusplus à risque. L’apport alimentaire en graisses saturées peut être réduit de plusieurs façons concrètes, notamment en choisissant des produits laitiers à faible teneur en matières grasses, en évitant les gras d’origine animale et en réduisantla consommation d’aliments riches en gras saturés tels que les gâteaux, les biscuits, les tartes, les pâtisseries, le beurre, le ghee, le lard, l’huile de palme, les saucisses, les charcuteries, les fromages fermes, la crème, la crème glacée, les laits fouettés et le chocolat. Lien supplémentaire : https://www.nhs.uk/live-well/eat-well/eat-less-saturated-fat/

Acides gras polyinsaturés pour la prévention des MCV

Les acides gras polyinsaturés pour la prévention primaire et secondaire des maladies cardiovasculaires 10.1002/14651858.CD012345.pub3 L’augmentation de la consommation d’acides gras polyinsaturés (AGPI) semble entraîner peu ou pas de différence (ni d’effets bénéfiques ni délétères) sur le risque de mortalité (preuves moyennement fiables), et aurait peu ou pas d’effet sur le risque de décéder d’une maladie cardiovasculaire (données de faible qualité). Par contre, une consommation accrue d’AGPI réduirait légèrement le risque de maladies cardiaques et d’événements cardiaques et d’AVC combinés (données de qualité modérée). Pour réduire le risque de maladies cardiaques d’un seul individu, il faudrait que cinquante-trois personnes augmentent leur consommation d’AGPI, tandis que 63 personnes seraient nécessaires pour prévenir un événement cardiaque ou un AVC à un seul individu. Consommer davantage d’AGPI pourrait réduire très légèrement le risque de mortalité due à une maladie cardiaque, ainsi qu’à un AVC, mais des dommages sont possibles (données de faible qualité). Les AGPI réduisent probablement le taux de lipides sanguins (triglycérides, données dequalité moyenne, mais sans effets sur l’adiposité et les autres lipides). Les données proviennent majoritairement d’études portant sur des conseils alimentaires donnés à des hommes résidant dans des pays où le revenu est élevé.

Le régime méditerranéen pour prévenir les MCV

Le régime méditerranéen pour la prévention primaire et secondaire des maladies cardiovasculaires 10.1002/14651858.CD009825.pub3 https://www.cochranelibrary.com/cdsr/doi/10.1002/14651858.CD009825.pub3/epdf/full Le régime méditerranéen :il se caractérise par un rapportacides gras mono-insaturés/gras saturés élevé (utilisation très répandue de l’huile d’olive pour la cuisson et consommation élevée d’aliments riches en acides gras mono-insaturés comme les noix) et par une consommation élevée d’aliments d’origine végétale (fruits, légumes et légumineuses). D’autres éléments le composent : la consommation faible à modérée de vin rouge, la consommation élevée de céréales complètes, la faible consommation de viande et de produits carnés, la consommation importante de poisson et la consommation modérée de lait et de produits laitiers. La revue fait état d’effets positifs sur le taux de cholestérol total, la pression artérielle, le nombre d’AVC, les LDL et les triglycérides mesurés en mmol/L. Le document complet compte 130 pages.

Les régimes alimentaires à faible indice glycémique pour prévenir les MCV

Les régimes à faible indice glycémique pour la prévention des maladies cardio vasculaires 10.1002/14a651858.CD004467.pub3 Les données probantes provenant d’essais contrôlés à répartition aléatoire sont insuffisantes pour recommander les régimes alimentaires à faible indice glycémique dans le but d’améliorer les taux de lipides sanguins ou d’abaisser la pression artérielle.

La diminution du taux d’homocystéine et les MCV

Les interventions visant la diminution du taux d’homocystéine pour prévenir les événements cardiovasculaires 10.1002/14651858.CD006612.pub5 Les interventions visant la diminution des taux d’homocystéine, soit l’administration seule ou en combinaison de vitamines B6, B9 et B12, n’ont montré aucune différence sur l’incidence d’infarctus du myocarde, de mortalité toutes causes confonduesnid’événements indésirables comparativement à un placebo. En ce qui concerne les AVC,la revue a démontré une légère différence favorisant la supplémentation en vitamines B6, B9 et B12, seules ou en combinaison, comme interventions visant la réduction de l’homocystéinepar rapport au placebo.

L’apport alimentaire en sel et les maladies cardiovasculaires

Comment la réduction du sel alimentaire affecte-t-elle les biomarqueurs cardiovasculaires et les niveaux d’hormones chez les personnes normotendues et hypertendues en bonne santé? 10.1002/14651858.CD004022.pub4 La réduction de l’apport quotidien moyen en sodium (201 mmol/jour) à un apport moyen de 66 mmol/jour, valeur qui se situe en deçà de la limite maximale recommandée de 100 mmol/jour (5,8 g de sel), a entraîné une baisse de la pression systolique/diastolique (PS/PD) de 1/0 mm Hg chez des sujets caucasiens normo tendus et une baisse de la PS/PD de 5,5/2,9 mm Hg chez les sujets caucasiens hyper tendus. Quelques études ont montré que ces effets étaient encore plus importants dans les populations noires et d’origine asiatique. Les effets sur les hormones et les lipides étaient similaires chez les sujets normotendus et hypertendus.La rénine a augmenté de 1,60 ng/mL/heure (55 %); l’aldostérone de 97,81 pg/mL (127 %); l’adrénaline de 7,55 pg/mL (14 %); la noradrénaline de 63,56 pg/mL : (27 %); le cholestérol de 5,59 mg/dL (2,9 %); et les triglycérides de 7,04 mg/dL (6,3 %). Remarque : Pour comparer ces résultats aux résultats produits par la plupart des laboratoires québécois, il est nécessaire de convertir les unités de mesure de mg/dL à mmol/L.

Micronutriments

Les micronutriments pour les fonctions cognitives en milieu de vie et pendant la vieillesse

Une supplémentation en vitamineset en minéraux pour maintenir les fonctions cognitives chez les personnes d’âge moyen ouavancé en bonne santé sur le plan cognitif 10.1002/14651858.CD011906.pub2 Les vitamines et les minéraux jouent un rôle dans plusieurs fonctions du système nerveux central et pourraient contribuer à maintenir la bonne santé du cerveau et les fonctions cognitives. Il a été suggéré que la supplémentation en certaines vitamines et minéraux pourrait s’avérer un moyen de maintenir les fonctions cognitives, voire de prévenir la démence, à un âge plus avancé. Nous n’avons trouvé aucune preuve soutenant qu’une supplémentation en vitamines ou en minéraux administrée à des adultes d’âge moyen ou avancé en bonne santé sur le plan cognitif ait un effet significatif sur le déclin cognitif ou la progression vers la démence, bien que les données ne permettent pas de tirer de conclusions définitives.

La vitamine B pour le DCL

Comment un supplément de vitamine B se compare-t-il à un placebo/absence de traitement chez les personnes atteintes d’un déficit cognitif léger? 10.1002/14651858.CD011905.pub2 Cette revue visait à déterminer si une supplémentation en vitamines ou en minéraux pour les individus présentant un déficit cognitif léger pouvait réduire leur risque de développer une démence ou empêcher que leur mémoire ou leurs autres capacités de raisonnement ne se détériorent davantage. À ce jour, il demeure impossible de déterminersiles suppléments sont susceptibles de réduire le risque de développer une démence chez les personnes atteintes d’un déficit cognitif léger ou de traiter efficacement leurs symptômes. Des recherches supplémentaires sont nécessaires.

La vitamine C et les rhumes

La vitamine C pour la prévention et le traitement du rhume 10.1002/14651858.CD000980.pub4 Le rhume est une des principales causes de consultation d’un médecin et d’absentéisme à l’école et au travail dans les pays à revenu élevé. La prise régulière de vitamine C n’a montré aucun effet sur l’incidence du rhume dans la population générale. La vitamine C prise sur une base régulière aurait cependant uneffet modeste, quoique constant, sur la réduction de la durée des symptômes. Des études supplémentaires sont nécessaires pour établir le rôle potentiel des vitamines thérapeutiques.

La vitamine D et l’asthme

La vitamine D dans la prise en charge de l’asthme 10.1002/14651858.CD011511.pub2 On a constaté que la vitamine D offrait une certaine protection contre les crises graves chez les adultes souffrant d’asthme léger à modéré. Cependant, avant que des recommandations cliniques définitives ne puissent être émises, il serait nécessaire de procéder à des essais supplémentaires s’intéressant aux enfants et aux personnes souffrant fréquemment de graves crises d’asthme.

La vitamine E pour la démenceet le DCL

La vitamine E pour le déficit cognitif léger etla démence liée à l’Alzheimer 10.1002/14651858.CD002854.pub5 Nous n’avons trouvé aucune preuve soutenant que l’administration de vitamine E sous forme d’alpha‐tocophérolaux personnes atteintes d’un déficit cognitif léger prévient la progression vers la démence ou améliore leurs fonctions cognitives ou celles des personnes souffrant de démence associée à la maladie d’Alzheimer. Des données de qualité moyenne provenant d’une seule étude indiquent toutefois qu’elle pourrait ralentir le déclin des fonctions cognitives en contexte d’Alzheimer. Dans les études incluses à cette revue, la vitamine E n’a pas été associée à un risque accru d’événements indésirables majeurs ou de mortalité. Ces conclusions sont fondées sur un nombre restreint d’essais et de sujets; il est fort probable que des recherches supplémentaires modifieraient ces résultats.

Acides gras oméga‐3 pour le traitement de la démence

Les acides gras oméga‐3 pour le traitement de la démence 10.1002/14651858.CD009002.pub3 Nous n’avons trouvé aucune preuve convaincante soutenant l’efficacité des AGPI oméga‐3 dans le traitement de la maladie d’Alzheimer au stade léger à modéré. Ce résultat était cohérent pour tous les résultats pertinents pour les patients souffrant de démence. Les effets indésirables des AGPI oméga-3 semblaient faibles, mais les données synthétisées dans cette revue ne nous permettent pas de faire une déclaration finale sur la tolérance. Les effets sur d’autres populations demeurent mal connus.

Le sélénium pour prévenir le cancer

Le sélénium pour prévenir le cancer 10.1002/14651858.CD005195.pub4 La supplémentation en sélénium n’a pas réduit l’incidence globale de cancer ou de mortalité. Dans l’essai de plus grande envergure intitulé Selenium and Vitamin E Cancer Trial, la supplémentation en sélénium a augmenté le risque d’alopécie et de dermatite. Chez les participants dont les niveaux de sélénium étaient les plus élevés, la supplémentation a également augmenté le risque de cancer de la prostate de haut grade. Les essais contrôlés à répartition aléatoire ont montré un risque légèrement accru de diabète de type 2 associé à la supplémentation. Dans l’ensemble, il n’existe aucune preuve qu’un apport accru en sélénium, que ce soit par l’alimentation ou la supplémentation, prévient le cancer chez l’humain.

Les vitamines et le sélénium pour prévenir le cancer du poumon?

Les vitamines individuelles et le sélénium peuvent-ils aider à prévenir le cancer du poumon chez les individus en santé? 10.1002/14651858.CD002141.pub3/full Aucun des traitements n’a montré de différence par rapport au placebo pour l’incidence du cancer du poumon ou la mortalité associée au cancer du poumon chez les sujets sains. Chez les fumeurs et les individus exposés à l’amiante, la vitamine A augmenterait l’incidence du cancer du poumon, la mortalité associée au cancer du poumon et la mortalité toutes causes confondues. La vitamine Caugmenterait l’incidence de cancer du poumon chez les femmes. La vitamine E augmenterait le risque d’AVC hémorragique.

Les modalités de la médecine alternative

Yoga et lombalgies chroniques

Le yogapour le traitement des lombalgies idiopathiques chroniques 10.1002/14651858.CD010671.pub2 Pour le soulagement des lombalgies, des données de très faible qualité ont indiqué que les exercices de yoga, lorsque comparés à des exercices physiques réguliers ciblant le dos,faisaient peu ou pas de différence dans l’amélioration de la fonction dorsale après trois mois et après six mois; aucune information à ce sujet n’était disponible à 12 mois. Nous avons trouvé des données de qualité moyenne soutenant que la pratique du yoga, comparativement à un groupe témoin inactif, serait plus efficace pour améliorer la fonction dorsale à moyen terme (six mois) et pour réduire la douleur à court et moyen terme (trois à quatre mois).

L’exercice physique pour la préventiondes chutes chez les aînés

10.1002/14651858.CD012424.pub2 Les programmes d’exercices impliquant principalement des exercices d’équilibre et des exercices fonctionnels ont réduit le nombre de chutes comparativement à un groupe témoin composé d’individus inactifs. Les données probantes pour les résultats autres que les chutes étaient beaucoup moins nombreuses.L’activité physique réduirait de plus du quart (27 %) le nombre de fractures par rapport à un groupe témoin. Des études supplémentaires sont cependant nécessaires pour confirmer ces résultats.

Musicothérapie et démence

Les interventions thérapeutiques musicales pour les personnes atteintes de démence. 10.1002/14651858.CD003477.pub4 Le fait d’offrir au moins cinq séances de musicothérapie aux personnes institutionnalisées atteintes de démence a probablement pour effet de réduire les symptômes de dépression et d’améliorer les problèmes de comportement généraux à la fin du traitement. La musicothérapie pourrait également réduire l’anxiété et améliorer le bien-être et la qualité de vie; elle aurait toutefois peu ou pas d’effet sur l’agitation, l’agressivité ou la cognition. Les effets à long terme de la musicothérapie et ses effets sur le comportement social demeurent incertains. Les études futures devraient se pencher sur la durée des effets en fonction de la durée du traitement et du nombre de séances.

Techniques de relaxation pour gérer la douleur pendant l’accouchement

Techniques de relaxation pour la prise en charge de la douleur pendant l’accouchement 10.1002/14651858.CD009514.pub2 La relaxation, le yoga et la musique joueraient un rôle dans la réduction de la douleur et dans l’amélioration de la satisfaction en regard du soulagement de la douleur, mais la qualité des données soutenant cette hypothèse varie de faible à très faible.Les données probantes sur le rôle de la pleine conscience et de l’analgésie auditive sont insuffisantes. La majorité des études ne faisaient pas état de la sûreté des interventions.

Alimentation et exercice physique pour prévenir le diabète gestationnel

Interventions conjointes combinant un régime alimentaire et un plan d’exercices physiques pour prévenir le diabète gestationnel 10.1002/14651858.CD010443.pub3 Des données probantes indiquent que la combinaison d’un régime alimentaire et d’un programme d’exercices physiques serait efficace pour prévenir le diabète gestationnel, bien que les éléments optimaux de tels programmes demeurent indéfinis. Variation des biomarqueurs et des hormonesaprès la réduction de l’apport en sel.

Musicothérapie et schizophrénie

La musicothérapie pour les personnes souffrant de schizophrénie et de troubles de type schizophrénique 10.1002/14651858.CD004025.pub4 Des données de qualité faible à moyenneindiquent que la musicothérapie, utilisée en complément des traitements courants, améliorerait l’état général, l’état mental (y compris les symptômes généraux et les symptômes négatifs), le fonctionnement social et la qualité de vie des personnes atteintes de schizophrénie ou de troubles de type schizophrénique.

Interventions musicales chez les patients atteints d’un cancer

Des interventions musicales pour améliorer la santé psychologique et physique des patients cancéreux 10.1002/14651858.CD006911.pub3 Nous avons conclu que les interventions musicales pourraient avoir des effets bénéfiques sur l’anxiété, la douleur, la fatigue et la qualité de vie (QdV) des patients cancéreux. Qui plus est, la musique pourrait avoir un effet positif, bien que léger, sur le rythme cardiaque, la fréquence respiratoire et la pression artérielle. La réduction de l’anxiété, de la fatigue et de la douleur constitue un résultat important pour les patients cancéreux, puisqu’elle affecte directement leur santé et leur qualité de vie. Par conséquent, nous recommandons de considérer l’inclusion de la musicothérapie et des interventions thérapeutiques musicales dans les soins psychosociaux des patients cancéreux.

Les antioxydants et l’hypofertilité chez la femme

Quels sont les effets des antioxydants chez les femmes suivies en procréation assistée pour traiter l’hypofertilité? 10.1002/14651858.CD007807.pub4 Un couple peut être considéré comme ayant des problèmes de fertilité si ses tentatives de concevoir demeurent infructueuses depuis plus d’un an. Les antioxydants oraux comparés incluaient : On ne sait toujours pas si la consommation d’antioxydants augmente le nombre de naissances.

Régime cétogène et épilepsie

Les régimes cétogènes pour l’épilepsie résistante aux médicaments 14651858.CD005573.pub3 Les régimes cétogènes se caractérisent par une diète riche en lipides et faible en glucides. Ces régimes ont été proposés pour réduire la fréquence des crises chez les personnes souffrant d’épilepsie. Ces régimes alimentaires pourraient présenter des avantages pour les enfants atteints d’épilepsie pharmacorésistante. Dépasse la portée du champ de pratique.

Gestion de la douleur pendant l’accouchement

L’acupuncture ou l’acupressionpour la prise en charge de la douleur pendant l’accouchement https://www.cochranelibrary.com/cca/doi/10.1002/cca.3020/full L’origine de l’acupression remonte à la Chine ancienne. En acupression, le thérapeute utilise ses mains et ses doigts pour appliquer une pression et activer les mêmes points qu’en acupuncture. Parfois, quelques points suffisent pour soulager la douleur, alors que d’autres fois, une combinaison de points peut être nécessaire pour obtenir un effet plus important. Certaines formes d’acupression sont pratiquées par des professionnels de la santé qualifiés, d’autres techniques peuvent être pratiquées par la personne elle-même sous forme d’automassage.

Divers

La mélatonine et l’anxiété préopératoire

La mélatonine pourl’anxiété pré et postopératoire chez l’adulte 10.1002/14651858.CD009861.pub2 Comparativement à un placebo, la mélatonine,administrée sous la langue (prise sublinguale) commeprémédication, a réduit l’anxiété préopératoire (mesuréede 50 à 100 minutes après l’administration). La mélatonine pourrait s’avérer aussi efficace que le traitement classique aumidazolam pour réduire l’anxiété préopératoire (mesuréede 50 à 100 minutes après l’administration). Comparativement à un placebo, la mélatonine pourrait réduire l’anxiété postopératoire (six heures après l’intervention).  

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